Témoignage de Rivadis

Le groupe Rivadis, mécène du projet de recherche « Santé mentale : la socio-esthétique comme soin de support pertinent à l'hôpital pour des publics fragilisés »

Créé en 1971, le groupe Rivadis développe, fabrique et distribue des produits d’hygiène et de soin pour les établissements de santé et le grand public, déclinés sous les marques Rivadouce, Auriège et Milton. L’entreprise familiale emploie près de 200 salariés répartis à Thouars (Deux-Sèvres), site historique qui comprend le laboratoire et l’usine, et Nantes, son siège social.
Depuis 2014, Rivadis soutient le projet de recherche « Santé mentale : la socio-esthétique comme soin de support pertinent à l'hôpital pour des publics fragilisés », porté par les professeures Laurence Coiffard et Céline Couteau de Nantes Université.

Zoom sur un engagement porteur de sens avec Laure Le Bourhis, directrice marketing et communication du groupe Rivadis.

Pourquoi Rivadis s’est-il engagé dans le mécénat avec la Fondation Nantes Université ?

Le mécénat s’inscrit naturellement dans notre démarche RSE, qui est au cœur de l’entreprise. L’action de mécénat que nous menons avec la Fondation Nantes Université répond à nos engagements sociétaux, qui visent notamment à soutenir des communautés impliquées dans les écosystèmes de la naissance et de la dépendance. La dimension locale du projet avait aussi son importance pour nous, en tant qu’entreprise familiale, ancrée sur son territoire."

Quel est le lien entre ce projet de recherche sur la socio-esthétique et le groupe Rivadis ?

La socio-esthétique allie des gestes et une attitude réconfortante pour améliorer le bien-être de personnes vulnérables. Nous nous retrouvons totalement dans l’idée de proposer, en EPHAD ou à l’hôpital, des soins esthétiques à des personnes fragilisées par la maladie, le handicap, le grand âge ou la désocialisation. Cette démarche, centrée sur l’humain, fait écho à l’esprit avec lequel nous concevons nos produits, formulés avec des ingrédients naturels et éco-conçus afin de limiter au maximum leur impact environnemental.

Comment se concrétise votre rôle de mécène ?

Nos dons financent à la fois la recherche et la pratique de la socio-esthétique dans les établissements de santé. Cet aspect financier est complété par un don de produits de notre gamme Rivadouce, conçue pour protéger et restaurer les peaux fragiles, en particulier celle des nouveau-nés et des personnes dépendantes.

C’est un projet sur le long terme, puisqu’après dix ans de mécénat, nous venons de renouveler notre engagement pour les trois prochaines années.

Après s’être intéressé au public jeune, le projet va désormais se focaliser sur l’univers du grand âge, ce qui correspond à l’évolution du positionnement de notre marque. Il y a de nombreux points communs entre les bébés et les personnes âgées, mais les spécificités cosmétiques liées au grand âge restent encore méconnues.

Comment votre action de mécénat est-elle perçue par vos salariés ?

En interne, notre participation à ce projet suscite de la fierté. Le mécénat vient montrer qu’au-delà de la peau, on se soucie des autres, on s’intéresse à nos parties prenantes. À notre échelle, nous contribuons au bien-être des personnes fragiles.